Un marché florissant de 50 milliards d’euros dix fois plus aujourd’hui qu’en 2000. Il représente 10% du marché planétaire. Une mortalité douce dont on ne s’aperçoit pas.. C’est le même marché que la drogue pourquoi ne le traque-t-on pas avec la même vigueur ? Une pilule sur quatre avalée dans las pays du sud n’a aucune molécule active . Un crime prémédité, un homicide en bandes organisées. Que fait la communauté internationale ? Que fait le Parlement européen ?
Quels sont les objectifs de la mobilisation ?
Cette mobilisation a l’ambition, à terme, de répondre aux trois problèmes majeurs liés à ce trafic
1. Pallier le manque d’informations afin d’éveiller les consciences
– Les comportements d’achat doivent changer. Pour que l’accès à la santé soit banalisé, même pour les populations les plus pauvres, il est essentiel de les informer sur les médicaments génériques de qualité, disponibles à un coût dix fois inférieur dans les circuits publics et privés.
– Il est impératif d’informer systématiquement les pharmaciens d’officine qui doivent prévenir les patients sur les dangers des faux médicaments.
2. Former les techniciens de laboratoires de contrôle de la qualité
– Pour permettre le bon fonctionnement des laboratoires et en assurer leur pérennisation, il est essentiel de former des personnes sur le terrain et de leur fournir les ressources nécessaires.
– Pour optimiser cette mesure, il s’agira de réunir une équipe de techniciens assurant la maintenance et la formation des différents laboratoires.
3. Élaborer un instrument répressif afin de réglementer la distribution de médicaments et de renforcer le droit des malades pour un accès aux médicaments de qualité contrôlée
– Parce que le trafic de médicaments falsifiés est bien un problème de santé publique, il est aujourd’hui un devoir d’établir une loi, internationalement reconnue, permettant de mettre un terme à ce fléau. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et la France disposent de législations pouvant servir de modèle.
– La mise en application de ces législations devra fédérer les acteurs de la santé (les pharmaciens d’officine et les conseils de l’ordre des pharmaciens, les laboratoires…) et du contrôle (services de police et de douane) pour sécuriser la chaîne de distribution des médicaments. Il sera alors impératif de les former sur les circuits qu’emprunte cette économie parallèle.
Cette mobilisation a l’ambition, à terme, de répondre aux trois problèmes majeurs liés à ce trafic
1. Pallier le manque d’informations afin d’éveiller les consciences
– Les comportements d’achat doivent changer. Pour que l’accès à la santé soit banalisé, même pour les populations les plus pauvres, il est essentiel de les informer sur les médicaments génériques de qualité, disponibles à un coût dix fois inférieur dans les circuits publics et privés.
– Il est impératif d’informer systématiquement les pharmaciens d’officine qui doivent prévenir les patients sur les dangers des faux médicaments.
2. Former les techniciens de laboratoires de contrôle de la qualité
– Pour permettre le bon fonctionnement des laboratoires et en assurer leur pérennisation, il est essentiel de former des personnes sur le terrain et de leur fournir les ressources nécessaires.
– Pour optimiser cette mesure, il s’agira de réunir une équipe de techniciens assurant la maintenance et la formation des différents laboratoires.
3. Élaborer un instrument répressif afin de réglementer la distribution de médicaments et de renforcer le droit des malades pour un accès aux médicaments de qualité contrôlée
– Parce que le trafic de médicaments falsifiés est bien un problème de santé publique, il est aujourd’hui un devoir d’établir une loi, internationalement reconnue, permettant de mettre un terme à ce fléau. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et la France disposent de législations pouvant servir de modèle.
– La mise en application de ces législations devra fédérer les acteurs de la santé (les pharmaciens d’officine et les conseils de l’ordre des pharmaciens, les laboratoires…) et du contrôle (services de police et de douane) pour sécuriser la chaîne de distribution des médicaments. Il sera alors impératif de les former sur les circuits qu’emprunte cette économie parallèle.