Une question posée avec fougue par Daniel Cohn-Bendit pendant l’heure des question mardi 20 avril a permis au président Barroso d’apporte la preuve que la Commission avait tiré toutes les leçons de l’affaire swift.
Il a rappelé que les négociations, commencées il y a quelques années, se font désormais sous le régime du Traité de Lisbonne. Le Parlement sera associé comme il se doit en toute transparence. Il n’y aura pas une réédition de la mésaventure qu’a connue l’accord swift.