A nouveau l’interdiction du blasphème à l’ordre du jour des Nations Unies. L’Union européenne vient d’ouvrir le dossier de la liberté de religion et de conviction.
Quatre ans après l’affaire des caricatures de Mahomet, quelques mois après Durban II (Cf Nea say…)l’Organisation de la conférence islamique (OCI) reprend sa campagne contre la « diffamation des religions », malgré l’opposition des pays occidentaux à l’interdiction du blasphème, contraire au principe de la liberté d’expression.