L’approche de l’UE face à la menace de la Corée du Nord
Le régime de Pyongyang, dont le dictateur Kim Jong-un semble de plus en plus incontrôlable dans ses essais nucléaires, suit depuis des années un parcours politique marqué par des menaces.…
Le régime de Pyongyang, dont le dictateur Kim Jong-un semble de plus en plus incontrôlable dans ses essais nucléaires, suit depuis des années un parcours politique marqué par des menaces.…
Un an après la publication de la Stratégie Globale de l’Union européenne (UE) pour la politique étrangère et la sécurité, et un mois après le Sommet européen à Bruxelles, on parle encore de l’efficacité et l’efficience pour contrer les menaces hybrides. Mais avant de contrer la menace, l’UE doit évaluer sa capacité en termes de sécurité et de défense, soulignant la forte coopération qui a été mise en place avec l’OTAN. En ce moment, l’Alliance a tendance à se concentrer de plus en plus sur l’une des menaces qui ont maintenant un effet direct sur les pays de l’Alliance: le terrorisme islamique. L’approche théorique, de caractère évolutif, explique comment l’UE et l’OTAN ont mis en place un programme de révision interne afin de s’adapter aux nouvelles menaces hybrides, et en même temps comment les deux organisations ont réussi à coopérer pour y faire face. En second lieu, dans cet article, les mesures mises en place par l’UE et l’OTAN et leur perception de la menace terroriste (depuis la création de l’Etat islamique) seront analysées. Enfin, à la lumière de la réunion du Conseil de l’UE pour les affaires étrangères et la réunion du 25 mai des chefs d’Etat de l’OTAN, nous déterminerons si une stratégie de coopération existe et quels sont les avantages et les inconvénients résultant de cette situation.
Tackling the socio-economic reasons for departure: a prerequisite for a good Mobility Partnership African countries are among our most crucial partners to tackle this migration crisis, being both source and…
The refugee crisis brought to the fore the realisation that the EU can not act alone. Arriving via Turkey, migrants first enter the EU, then cross into non-EU countries and…
“It will have two main objectives. On the one side, taking stock of the implementation of commitments of the donor community at the London conference, on which the EU has delivered in full. But most of all it will be a political conference, hoping that could be the moment for the international community together to turn the page and start the political transition, the reconciliation process and the reconstruction of Syria”. With these words, the High Representative Federica Mogherini, announced the Conference on Syria held on 5 April, which gathered the Ministers of Foreign Affairs and other delegations in Brussels.
Le 16 février 2017, au cours de la réunion ministérielle de l’Alliance atlantique à Bruxelles, la demande d’aide de la part du Premier ministre libyen Fayez el-Sarraj pour la formation et le développement des forces armées du pays a été émise. Former les forces locales pour l’OTAN signifie augmenter les capacités libyennes dans la lutte contre le terrorisme et encourager la reconstruction de la stabilité. Dans le même temps, l’Union européenne est engagée dans la Méditerranée centrale et en août 2016, il a été décidé de commencer un parcours de formation de la Garde côtière libyenne dans le cadre de l’Opération Sophia. En raison de sa situation géopolitique et stratégique, la Libye est maintenant au centre des intérêts de l’OTAN et de l’Union européenne qui ont des objectifs qui peuvent être perçus comme différents, mais qui en réalité peuvent se croiser dans la réalisation d’un projet à partir duquel tout le monde peut en tirer profit. En premier lieu, cet article présentera la motivation des deux organisations en Libye. En deuxième lieu, les politiques et les opérations européennes et de l’OTAN qui ont lieu actuellement dans le centre de la Méditerranée (Sea Guardian et l’Opération Sophia) seront analysées. Par conséquent, les résultats du sommet de Malte et de la réunion ministérielle de l’OTAN seront mis en évidence, afin de comprendre quels sont les plans et les projets relatifs à la question de la lutte contre le trafic des migrants lié à l’instabilité en Libye. Enfin, dans la conclusion, les défis pour l’UE et l’OTAN seront soulignés pour avoir un aperçu des capacités des deux organisations capables d’exporter la stabilité.
This Wednesday, 15 March 2017, the Netherlands get the ball rolling for a series of elections in the European Union in the oncoming months that could determine the future of…
The High Representative of the European Union for Foreign Affairs and Security Policy Federica Mogherini took an official Balkan tour last week from 1 to 4 March. Her visit comes at a difficult time when ethnic and political rising tensions are undermining the process of European integration. Nevertheless, the EU can’t stop at 27. The Western Balkans’ states belong to Europe and should join the EU family. (suite…)
The Munich Security Conference (MSC) is a three days long global platform where the elite gathers to discuss security threats and the future of security policies. No less than Angela…
Troubling news continue to come from the Balkans. Two rounds of talks in the framework of the High Level Dialogue for the normalisation of relations between Belgrade and Pristina were hosted by High Representative Federica Mogherini respectively on 24 January and on February first. Tensions escalated before the meeting when Serbia attempted to send a passenger train emblazoned with the slogan “Kosovo is Serbia” in several languages to the Serb enclave of northern Kosovo and started to build up a wall in Mitrovica to divide Kosovo Serbs from Albanians. Thus, both parties were invited to participate at the EU-backed High Level Dialogue in order to minimise, if not erase, any risk to blow up what already have been achieved as far as the normalisation of the relations between Belgrade and Pristina concerns. (suite…)