Référendum suisse : la Suisse n’a pu justifier la « double peine » d’expulsion automatique. Non ! a dit unanimement l’Union européenne. Les déclarations suisses de bonne volonté n’y changeront rien.
La ministre suisse Simonetta Sommaruga a assuré ses partenaires européens que son pays allait tout faire pour se montrer un partenaire crédible mais il a aussi le devoir d’accepter une décision populaire et le gouvernement doit la concrétiser. C’est la quadrature du cercle comme déjà indiqué il y a plusieurs semaines par Nea Say (N° 96, 97, 98) (suite…)