Mise à jour: Oussama ben Laden est mort ! Qu’en penser en Europe ? Europol répond…
Il serait détestable de se livrer à un exercice purement spéculatif qui contrairement à ce que laisserait penser le directeur de Europol qui, pour lui, pourrait relever du « raisonnable » (suite…)
Il serait détestable de se livrer à un exercice purement spéculatif qui contrairement à ce que laisserait penser le directeur de Europol ce qui ,pour lui, pourrait relever du « raisonnable »…
À l’unanimité moins une voix contre et deux abstentions, venant des sièges écologistes, la proposition de loi interdisant le port sur la voie publique de tout vêtement cachant totalement ou de manière principale le visage a été votée le 28 avril par la chambre basse du Parlement belge. (suite…)
… Lors de l’adoption de la Directive retour, des députés européens, les mouvements associatifs avaient qualifié cette directive de « directive de la honte « ! (cf. Nea say n° 58 http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?idr=4&&nea=63&lang=fra&arch=0&idnl=896 ) Nea say avait alors commenté : peut-être, s’agissait-il d’une directive de la honte, mais que certainement il s’agissait avant tout d’une directive pour les juges, tant la directive apparaissait compliquée et ne répondant pas à toutes les questions. Plus de deux après la prévision se vérifie et l’arrêt de la Cour de justice vient de préciser un certain nombre de dispositions qu’aucun Etat membre ne pourra ignorer.
Lors de l’adoption de la Directive retour, des députés européens, les mouvements associatifs avaient qualifié cette directive de « directive de la honte « ! (cf. Nea say n° 58 http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?idr=4&&nea=63&lang=fra&arch=0&idnl=896 ) Nea say avait alors commenté : peut-être, s’agissait-il d’une directive de la honte, mais que certainement il s’agissait avant tout d’une directive pour les juges, tant la directive apparaissait compliquée et ne répondant pas à toutes les questions. Plus de deux après la prévision se vérifie et l’arrêt de la Cour de justice vient de préciser un certain nombre de dispositions qu’aucun Etat membre ne pourra ignorer.
Lors de l’adoption de la Directive retour, des députés européens, les mouvements associatifs avaient qualifié cette directive de « directive de la honte « ! (cf. Nea say n° 58 http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?idr=4&&nea=63&lang=fra&arch=0&idnl=896 ) Nea say avait alors commenté : peut-être, s’agissait-il d’une directive de la honte, mais que certainement il s’agissait avant tout d’une directive pour les juges, tant la directive apparaissait compliquée et ne répondant pas à toutes les questions. Plus de deux après la prévision se vérifie et l’arrêt de la Cour de justice vient de préciser un certain nombre de dispositions qu’aucun Etat membre ne pourra ignorer. (suite…)
À l’unanimité moins une voix contre et deux abstentions, venant des sièges écologistes, la proposition de loi interdisant le port sur la voie publique de tout vêtement cachant totalement ou de manière principale le visage a été votée le 28 avril par la chambre basse du Parlement belge. (suite…)
L'emploi reste de très loin en France le principal domaine de discrimination, selon le rapport de la Halde remis vendredi 29 avril à Nicolas Sarkozy. Mais cette constatation vaut aussi…
Comment qualifier en la matière le président ? repenti ? relaps ayant abjuré sa foi ? Un nouvel épisode de Hadopi et son feuilleton interminable bien connus des lecteurs de Nea Say (50 articles http://www.eu-logos.org/eu-logos_nea-say.php?q=hadopi&Submit=%3E). C’est à l’occasion de l’installation du Conseil national du numérique (CNN) , mercredi 27 avril, que le président Nicolas Sarkozy a prononcé un discours déroutant par certains de ses aspects. Le CNN est un organisme qui a pour objectif d’éviter à l’avenir les ratés dans la gestion de certains dossiers liés à Internet par le gouvernement, grâce à un dialogue avec le secteur. Pendant son discours, ( « Internet et l’économie numérique ») le président de la République s’est dit prêt à une remise à plat de la loi Hadopi sur le piratage sur Internet, reconnaissant une part d’erreur du gouvernement dans la genèse de ce dispositif. « Hadopi n’a jamais été une fin en soi (…) C’est un moment de l’histoire, une solution trouvée à un impératif catégorique immuable à mon esprit qu’est la défense de la propriété intellectuelle. Est-ce qu’on peut faire mieux ? Sans doute, mais là n’est pas tellement la question »(…) L’intuition que j’avais, c’est qu’on ne pouvait pas abandonner les créateurs. Peut-être que la maladresse a été de donner le sentiment que vous étiez attaqués » (…) « on me dit souvent est-ce que vous êtes prêts à un Hadopi 3 ? Bien sûr que j’y suis prêt et même à un Hadopi 4 qui signifierait la fin de la Hadopi si vous, acteurs du numérique, réussissez à trouver des moyens de rétribuer justement les créateurs ». (suite…)
Un sommet inutile : le simple rappel de la loi en matière de libre circulation des immigrants dans l’Union européenne aurait évité bien des polémiques. Pareillement, le rappel que Schengen peut toujours être suspendu aurait évité de réclamer avec force des choses qui existent. Inutile et pas opportun également : la feuille de route institutionnelle était connue de longue date, le 4 mai la Commission européenne fait ses propositions comme le lui a demandé le Conseil européen, courant mai les ministres de l’intérieur en délibèreront au sein du Conseil et fin juin lors du Conseil européen habituel, les chefs d’Etat et de gouvernement arrêteront leurs orientations. Bilan : une agitation stérile qui détourne l’attention du citoyen des vrais problèmes, qui flatte l’électorat populiste et d’extrême droite dont les deux protagonistes recherchent, par moment, la faveur. Mais le renforcement du bon fonctionnement des institutions selon le modèle communautaire est confirmé, une fois de plus, même si ce n’était pas le premier objectif poursuivi. Il a démontré son utilité. (suite…)